samedi 27 juin 2009

010011010100101010101110101010100010


Je voudrais dire, à tous ceux qui ont un jour cru en moi, combien ils ont eu tort, et combien j'en suis navrée. Cette année a révélé mon incompétence dans toute sa splendeur. Je le redoutais, c'est finalement arrivé, à moi qui clamais depuis des années déjà que je ne valais rien. Je ne me suis pas forcée pour que ma vraie nature me rattrape par le bras et me jette à terre. Si elle ne m'avait pas piétinée, je l'aurais fait de moi-même, même si cela requiert de sévères contorsions.
Je cherche des raisons de me relever, et d'y croire encore. Je cherche mes forces à rassembler, mon courage à blinder, mon coeur à crever l'abcès, mes graisses à brûler. Les amis, fuyez tant qu'il est temps.
Sophie

1 commentaire:

Anonyme a dit…

On m'a toujours appris que le hasard n'existait pas.
Il faut chercher la cause de tout cela...pas la cause substantielle...mais la cause profonde...la cause réelle.
Une fois cela accompli, tout ira mieux....tu refondras ta vie.