jeudi 16 avril 2009

* * *


Toi, lecteur : je t'aime.

J'ai besoin d'aimer en ce moment, ça te tombe dessus comme sur quelques autres, tu n'as pourtant rien demandé, tu ne l'as point provoqué. Mais c'est comme une fiente de pigeon qui pleut d'un fil électrique, ou un pot de géraniums qui bascule d'un balcon. Le plus pur fruit du hasard, la malchance au sens propre. Je t'aime. Essaie de te débattre et je t'aimerai encore plus fort.

Ouais je sais, c'est la merde pour toi.

3 commentaires:

Anonyme a dit…

Fuis moi je te suis, suis moi je te fuis ^^;

Mais moi aussi j'aime te lire....
Mine de rien, un blog c'est comme un bouquin, à force d'avancer dans la lecture, on s'attache à l'écrivain...

jeremy a dit…

ha ben merde tiens je savais bien qu il fallait que j arrete de me balader par ici ... Tu pars a la javel ?

Mathieu a dit…

Le Sophie B. part mieux au cif ;)

Et ben tiens, pour faire chier, je vais continuer a "me balader ici".
Nouille, bisouille.